mardi 19 juillet 2016

Bakel: Début de la saison hivernale, début de calvaire pour les habitants.

 Il a plu à torrents dans la nuit du mardi 19 juillet à Bakel et ses environnants. Certains quartiers comme les HLM sont sous les eaux.
Cette situation existe depuis la création de la dite cité en 1963. Car effectivement elle est construite sur un terrain sur lequel la navigation en pirogue y était possible et il servait de passage aux piroguiers pour rejoindre leurs champs ou pour remonter le fleuve Sénégal.
Depuis donc l’érection de cette cité en zone d’habitation, aucune politique d’assainissement n’est initiée par les autorités municipales qui se sont succédées à la tête de cette municipalité pour le drainage de l’eau de pluie jusqu’au fleuve distant de moins de cent mètres.
L’actuel maire, l’honorable député Ibrahima Babayel Sall, habitant du quartier, mais dans l’autre partie non inondée, rencontré à plusieurs reprises sur la question ne cesse de donner des promesses et en attendant une solution qui tarde à venir, nous en pâtissons.
C’est cette même situation que vivent les populations de Dares- Salam, Bakel Coura etc.
Si ce n’était que l’eau la situation serait moins éprouvante mais, il y’a son lot de problèmes : prolifération de moustiques, de grenouilles, de crapauds, de serpents sans compter l’odeur nauséabonde des eaux stagnantes dû aux animaux morts en putréfactions, sources de toutes sortes de maladies hydriques.
En attendant de trouver des solutions définitives à notre calvaire des discussions sont en cours entre habitant du quartier pour gérer cette situation.
Surtout ne leur parlez pas de la municipalité qui a montré ses incapacités face à la situation des HLM.

  



lundi 18 juillet 2016

KAOLACK: Atelier de formation des Enseignants(es) sur les droits des Enfants et les violences basées sur le Genre.


Les vendredi 15 et samedi 16 juillet 2016, à la salle de conférence de l’hôtel le relais de Kaolack, s’est tenue une session de formation des responsables de bureau partenariat, communication, genre des IA et IEF des régions de Kaolack,  Kaffrine et Tambacounda (bassin de Kaolack) par l’Association des Juristes Sénégalais (AJS) sur financement du projet d’appui à l’éducation féminine et à l’empowerment des femmes pour un développement local inclusif (PAEF PLUS).
Cette formation, dont les thématiques porteront sur les droits humains, les droits fondamentaux de l’enfant et sur les violences faites aux enfants basées sur le genre en milieu scolaire, vient à son heure car elle aura permis aux responsables BPCG de s’approprier les instruments juridiques relatifs à la protection et à la promotion des droits humains des enfants et particulièrement ceux des filles, de respecter désormais et de promouvoir l’équité et l’égalité des sexes dans l’éducation primaire et secondaire, en fin d’être outillés pour une identification des violations des droits humains et pour une prise en charge efficace des victimes. Tel est en gros les objectifs poursuivis par ce programme.
Chacune de ces thématiques fera l’objet de travaux de groupe sur des questions et études de cas précis et des séances de restitution et de discussion sous la supervision des expertes juridiques chargées de l’animation de l’atelier.
Une présentation sur le rôle de l’enseignant sera le moment fort où, véritablement, des recommandations seront faites aux BPCG d’accentuer les campagnes de sensibilisations et de plaidoyer pour le respect de la fonction enseignante et la prise en compte de la dimension genre dans l’école et la classe. De continuer le processus d’installation des cellules genres dans tous les établissements scolaires, de travailler en synergie avec les autres organisations locales poursuivant des objectifs similaires et arriver à avoir une base de données sur les violations des droits humains ou autre.
IL faut le dire aucune statistique locale n’est disponible sur la question. 
A l’issue de la formation des attestations sont décernées à tous les participants.

















CŒUR de KK 

Motel Arc-en-Ciel