Cette situation existe depuis
la création de la dite cité en 1963. Car effectivement elle est construite sur un
terrain sur lequel la navigation en pirogue y était possible et il servait de
passage aux piroguiers pour rejoindre leurs champs ou pour remonter le fleuve
Sénégal.
Depuis donc l’érection de cette
cité en zone d’habitation, aucune politique d’assainissement n’est initiée par
les autorités municipales qui se sont succédées à la tête de cette municipalité
pour le drainage de l’eau de pluie jusqu’au fleuve distant de moins de cent
mètres.
L’actuel maire, l’honorable
député Ibrahima Babayel Sall, habitant du quartier, mais dans l’autre partie
non inondée, rencontré à plusieurs reprises sur la question ne cesse de donner
des promesses et en attendant une solution qui tarde à venir, nous en
pâtissons.
C’est cette même situation que
vivent les populations de Dares- Salam, Bakel Coura etc.
Si ce n’était que l’eau la
situation serait moins éprouvante mais, il y’a son lot de problèmes :
prolifération de moustiques, de grenouilles, de crapauds, de serpents sans
compter l’odeur nauséabonde des eaux stagnantes dû aux animaux morts en
putréfactions, sources de toutes sortes de maladies hydriques.
En attendant de trouver des
solutions définitives à notre calvaire des discussions sont en cours entre
habitant du quartier pour gérer cette situation.
Surtout ne leur parlez pas de
la municipalité qui a montré ses incapacités face à la situation des HLM.